Collection Belle-Mère. Femme D’Un Gros Banquier (1/2)

J’ai eu la chance de rencontrer le Marquis Firmin de Gras.
Dès sa jeunesse, ses copains l’appelaient Gras double, il était rempli de rondeurs, pour arranger le tableau, il avait un œil qui disait légèrement merde à l’autre, avec de grosses lunettes noires.

Il pensait avoir des potes, c’est un grand mot, il a toujours été un repoussoir pour les garçons de son école.
Je dirais même mieux, la tête de Turc, celui qui se retrouvait rué de coups, ses lunettes régulièrement cassées.
Alors pourquoi moi, une jolie petite blonde, quand je l’ai rencontré de façon fortuite, lors d’une soirée où je faisais un extra ai-je eu l’idée d’attirer son attention ?
J’avais accepté de faire le service pour un traiteur pour une paye ridicule, mais me permettant de couvrir un peu mes besoins les plus urgents.

Je l’ai regardé différemment quand il est venu prendre un verre sur le plateau que je promenais entre les invités de ses parents.
J’avais compris en me déplaçant que ce garçon était l’héritier d’une grosse fortune.
J’ai tout de suite vu que ce garçon de presque trente ans manquait d’affection et que c’était la porte à franchir pour régler définitivement tous mes besoins de luxe.
Une cartomancienne m’avait prédit un mariage heureux me permettant de vivre une vie oisive.
Ayant réussi à repasser près de lui après avoir été chercher un nouveau plateau, je lui ai fait mon plus beau sourire.
Il a paru surpris qu’une jolie femme comme moi fût la serveuse de coupes de champagne le regarde tendrement.
Je lui faisais mes yeux de biche, avec mes longs faux cils, je sais très bien me maquiller afin de me mettre en valeur, même avec mon tablier de soubrette.

J’ai continué mon travail, le temps pressant, l’immense salle à manger de cet hôtel particulier commençait à se clairsemer.
Alors, le repérant, je suis allée rapidement préparer un plateau avec huit couples en cristal derrière son dos.


Je me suis arrangée pour faire toucher le plateau par son bras.
Tout est tombé, plateaux et coupes dans un bruit comme celui d’une glace se brisant en se répandant au sol.
Sans oublier le bruit du plateau en argent, le moment crucial était là, sa mère était près de nous.

• Quelle horreur, regardez le pantalon de mon fils, vous l’avez taché.
• Attendez, madame, je sais comment faire pour arranger cela.

Avec la serviette que j’avais sur mon bras, je me suis agenouillée.
J’aime montrer ce que j’appelle mes avantages avec mes yeux bleus, le premier bouton de mon chemisier étant toujours détaché.
Gras double avait une vue plongeante sur ma vallée pleine de promesse.
Avec la serviette, j’ai commencé à tapoter la tâche du liquide et sans avoir l’air, je me suis rapprochée de ses parties intimes.
Je voulais le surprendre, c’est moi qui l’ai été.
Ce que j’ai touché dépassait tout ce que dans ma jeune vie, j’avais déjà senti ou vu.
Sans être une salope, j’aime la queue, non, j’aime les queues, car je refuse de trop m’attacher.

• Que faite-vous petite gourgandine, comment pouvez-vous, vous permettre de toucher le sexe de mon garçon !
• Mère, évirez de vous en prendre à cette petite, c’est moi qui suis en cause.
J’ai touché son plateau avec mon bras, c’est moi qui ai tout fait tomber.
• Merci monsieur, je m’excuse tout de même, je suis peut-être passée trop près de vous.

Perfide je tombe en larmes.
Il m’aide à me relever, je cherche à ferrer définitivement le poisson visé.
Je me colle à lui, ma poitrine ayant marqué le premier point dans toute sa splendeur se plaque sur la sienne, l’obligeant à me prendre dans ses bras.

• Mademoiselle, veuillez vous tenir, même s’il semble que d’après mon fils, vous soyez étrangère à cet incident, je vous ordonne de retourner en cuisine.
• Madame, la gourgandine a un nom, Sandrine, pour vous servir.


Je me sépare de son choupinet d’amour, sachant jusqu’à où aller, trop loin, mais je sais que c’est loin d’être gagné.
Ma future belle-mère ressemble à une poule couveuse, elle protège son garçon malgré sa laideur.
Elle le couve tellement que ça en est anormal, je comprends son célibat à son âge.
Je me suis éclipsée, mais j’ai pris des renseignements.
À Paris ou le marquis l’avait rencontrée, elle aurait été considérée comme la pute du quartier ou elle habitait.
C’était la fille d’une femme de ménage et d’un portier d’hôtel à la limite d’être un ivrogne.
J’ignore, comment elle avait fait, mais si elle y était arrivée, pourquoi pas moi, il suffisait d’y croire.
J’ai tout de même ramassé le verre pour éviter les accidents.
En attendant, belle maman pensant avoir protégé son poussin, nous tourne le dos et se met à reparler à la femme d’une personne semblant avoir de l’influence.
Firmin met sa main dans la poche de sa veste et en sort une carte de visite, qu’il glisse dans mon décolleté, touchant par là même mon sein.
Quand je dis que mes seins vont être primordiaux pour mon avenir.

• Appelez, Sandrine, j’espère vous revoir.

J’attends d’être sortie après avoir reçu mon enveloppe, la marquise me regardant d’un regard noir, sent-elle que j’en veux à son Gras double.
Ce qu’elle ignore, c’est que je suis aussi garce qu’elle et que lorsque j’ai envie de ferrer un poisson, je suis prête à me servir de tous mes appâts pour y arriver.
Des appâts avec mes seins, ça je l’ai dit, mais avec ma paire de fesses, c’est loin d’être mal.
Elles sont rebondies et d’une fermeté à toute épreuve.
Depuis ma prime jeunesse, j’ai appris à les faire bouger ce qui à la longue les a raffermies.
Ajouter des talons hauts et une jupe noire très serrée et vous avez une chute de rein frisant la perfection.
Le risque que ma cible me passe sous le nez étant très faible, j’ai laissé passer du temps.

La seule chose que je me suis attaché à faire, c’est d’apprendre sa façon de vivre et l’endroit où je le sentirais le plus vulnérable.
C’est facile, il sort de chez sa maman, tous les matins à 7 heures, il fait 500 mètres, j’arrondis, peut être 501 à 510 mètres.
Il entre dans un café, le premier jour, je le lâche, inutile de me faire repérer.
Le lendemain rebelote, c’est confirmé, 7 heures, 510 mètres maxi et il entre dans le café.
Je le laisse repartir et il entre dans la banque où il travaille, ça je le sais, car en plus de son numéro, l’adresse était marquée sur le bristol qu’il m’a donné lors de l’épisode des verres cassés.
Fiston a le bureau à côté du bureau de papa.
Dans quelques mois, le patriarche partira se reposer dans sa villa de Marbella en Espagne avec vue sur la plage et le rejeton prendra sa place dans le grand bureau avec vue sur Paris.
J’ai eu ces renseignements un jour où ayant rencontré un des simple agent d’entretien en plus d’une petite pipe, il m’a fait visiter l’immeuble bancaire de nuit.
Il était assis dans le bureau de beau-papa dans son fauteuil de PDG et pour le remercier, je lui ai sucé la queue.
C’était un black et j’ai été récompensé de mes efforts par de longs jets de spermes que je me suis empressée d’avaler.
Le sperme, pour moi, c’est comme une orangeade pour d’autres.
Il va sans dire, que visant le petit porcinet, j’avais modifié ma silhouette avec une perruque rousse et une paire de grosses lunettes noires.
J’ai essayé des faux seins, mais les miens étant déjà bien imposant et trop c’était trop.
Lorsque j’aurais pris du poids sur belle-maman, je me méfierais comme la peste des agents de sécurité, ils visionnent les caméras de surveillance et sont au courant de bien des choses.
Gras double, ayant rejoint son poste à 7 heures 15 tapantes, j’entre à mon tour dans le café.
Au bar très près de la caisse, je montre ma poitrine au serveur.
Lui aussi va me servir.

Tous les jours, j’attends le départ de mon mari, c’est vrai, futur mari et je prends mon café sous les yeux lui sortant de la tête de mon serveur préféré qui m’a dit s’appeler Serge.
Pendant trois jours, j’oublie volontairement de venir.
Ce matin, c’est le jour où je ferre mon poisson, bien gras, bien dodu.

• Bonjour la compagnie, Serge, un café.
Ho, pardon.

Tout est prêt, même mon talon cassant au bon moment pour que je m’affale sur la table où Firmin prend son café avec un petit croissant.

• Mademoiselle Sandrine, je me souviens du nom que vous avez donné, quand vous avez eu le courage de rembarrer ma mère.
Nous sommes faits pour nous rencontrer dans des situations toujours insolites.
Là, c’est vous qui me tombée dessus.

Affalée sur la table, mes seins bien en évidence devant ses yeux, j’essaye de reprendre pied, mais mon talon se dérobe de nouveau et je retombe lourdement.
Ce que j’avais oublié dans mon plan, c’est le café qui a valsé sur son pantalon le laissant son croissant en main.
Pantalon, je devrais dire braguette, pile-poil là où son sexe m’intéresse.
Serge arrive, avec une serviette propre.

• Monsieur le marquis excusez la maladresse de Sandrine, voilà une serviette pour vous essuyer.
• Donne-la-moi Serge, je vais rattr les dégâts.

Je lui prends des mains et c’est moi qui retrouve ce que j’avais pressenti chez sa maman, une verge qui doit avoir du mal à entrer dans son pantalon.

• À là, vous z Sandrine, mais profitez de l’absence de ma mère.

Nous éclatons de rire, il a de l’humour qu’il doit cacher dans son milieu familial.

• Serge servez, deux cafés et remettez des croissants.
Mademoiselle Sandrine, tenez-moi compagnie.

Je m’assieds et j’enlève ma chaussure que je mets sur la table.

• Ton talon a cassé, c’est pour cela que tu es tombée.
Voyons, pointure 38, juste comme celle de ma mère.
Après avoir bu notre café, viens, tu sais où j’habite c’est là où nous sommes vus pour la première fois.
Germaine, ma chère mère en a plus d’une centaine de paires dans son dressing.

Les chaussures de belle-maman...

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